Lecture : The Play, Briar Université T3, Elle Kennedy

Hello tout le monde ! Ça donne quoi pour vous 2020 jusqu’à maintenant ? Non parce que moi … je vais pas vous mentir, j’ai vu mieux comme début d’année. J’espère que ça va s’arranger, parce que les deux premiers mois, oulàlàlà c’est pas la joie ! D’ailleurs c’est à cause, ou plutôt grâce, à une phase de déprime que j’ai lu le livre dont je vais vous parler. Et oui ! Moi quand je me sens dans un bad mood, c’est simple, je file vers une bonne romance drôle et épicée. Donc Elle Kennedy, à coup sûr. Par contre comme The Play est le dernier tome de la série je ne sais pas tout quoi lire pour mon prochain moment de déprime. Si jamais vous avez des idées laissez les moi en commentaire !

Après une année de débauche, qui a conduit à une catastrophe sur la glace, Hunter Davenport, le nouveau capitaine de l’équipe de hockey de Briar, est décidé à changer de comportement. Sa solution ? L’abstinence pure et dure. Il est persuadé que s’il n’a aucun contact avec le sexe opposé pendant un an son équipe pourra gagner le championnat. Seul problème? Demi Davis, sa partenaire pour un projet scolaire. Elle est marrante, incroyablement bavarde et terriblement sexy. Les choses vont être compliquées pour Hunter.

Alors pour commencer je suis déjà contente d’une chose : Demi est le premier personnage principal de la saga à ne pas être caucasien. En tout cas, le premier où cet élément est précisé. La jeune femme a un père noir, une mère latina et c’est top. Vous savez, par rapport à la représentation tout ça tout ça … et la romance, comme tout les genres en littérature, manque de diversité donc c’est cool de voir un personnage avec une ethnie définie. Merci Elle!

Merci aussi pour l’histoire. Je l’ai dit plus tôt, j’étais dans un sacré bad mood en commençant cette lecture, et j’avais quelques doutes sur le fait que cette romance ait de l’effet sur moi. Des doutes qui concernaient surtout Hunter. Dans les précédents tomes son personnage de beau gosse, arrogant, prétentieux, super riche et imbu de lui même me sortait par les yeux… Pour des raisons assez évidente du coup. Hunter se veut être un Dean 2.0. mais alors que Dean avait, selon moi, une certaine nonchalance dans son rôle de beau gosse pleins aux as. Hunter était surtout un jeunot trop fier de lui. Mais tout ça c’était avant de lire ce tome.

Eh bien, je vais pas mentir, Hunter n’est pas du tout comme ça. Bon, ok, il l’est un peu. Mais en plus de ça il est drôle, charmant, investi auprès de son équipe et il a vraiment la tête sur les épaules. Comme tous les personnages d’Elle Kennedy il a ses casseroles, surtout au niveau familial. Mais ces casseroles ne le définissent pas, et il ne s’en sert à aucun moment pour justifier ses mauvaises actions.

Parlons un peu de Demi. Elle est attachante, marrante et puis elle adore regarder des vidéos sur les tueurs en série. Il se trouve que moi aussi, j’adore ça, donc j’ai tout de suite adoré son personnage! Demi est le premier personnage de la saga a faire partie d’une sororité. Alors oui, Garrett faisait partie d’une fraternité, mais c’était une phrase en passant dans le roman qui n’avait aucune importance dans le déroulé de l’histoire. Et Summer se fait virer de sa sororité dès le début, donc ça ne compte pas. Demi, elle, vit dans la maison de sa sororité et parle des autres filles de la maison comme de ses soeurs. En vrai ce systèmes de sororité/fraternité, des universités américaines m’intrigue beaucoup. Peut être que si j’avais été américaine j’aurais voulu faire partie de l’une d’entre elles. Mais passons, ce n’est pas le sujet ici.

Demi et Hunter forment un duo inattendu, mais parfait. J’ai terriblement aimé voir leurs sentiments se développer et la façon dont leur relation évolue. J’aime que Elle Kennedy nous présente des romances qui ont cet aspect fantasme qu’on aime, mais qui ne partent pas non plus dans tous les sens. Avec Hunter et Demi on rit, on s’amuse, on s’énerve aussi. Mais on fini toujours par se sentir bien à la fin. Ce sont des personnages qui se poussent vers le mieux et s’entraînent pour réussir ensemble, de la façon dont une relation saine devrait fonctionner. J’aime tellement les romances qui n’ont pas besoin de créer une relation tordue ! Je ne cesserais pas de le dire.

Et bien sûr, parce que c’est Elle Kennedy c’est délicieusement épicé mais sans pour autant ne servir à rien. Et surtout, ça ne prend pas toute la place. Après tout notre héros a fait vœu d’abstinence ! 😉

J’aimerais aussi accorder des points bonus pour la présence de Garrett Graham dans ce tome. C’est un petit caméo, peut être un cadeau pour les fan, peut être que ça vient de l’autrice qui l’aime tout comme moi, mais ça fait toujours plaisir d’avoir un peu de Garrett.

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